Pourtant au début du siècle dernier, tout commençait bien, nos grands anciens donnaient leur nom à des bacilles ou œuvraient à éradiquer des maladies mortelles. Plus récemment et de façon un peu brouillonne, nos pères, dans les campagnes, gagnaient la bataille contre les rebouteux, les toucheurs et autres empiriques.
Aujourd’hui nous comptons des chercheurs, des internistes, des pathologistes, des orthopédistes aussi brillants les uns que les autres. Même le fleuron de la formation vétérinaire moderne se targue d’organiser « le plus grand congrès scientifique des vétérinaires pour animaux de compagnie. »