Loi de Brandolini par l’exemple

Par zeteditor

Analyse d’un article de synthèse non systématique. Loi de Brandolini : « La quantité d’énergie nécessaire pour réfuter du baratin est beaucoup plus importante que celle qui a permis de le créer ». Contexte Lors d’une discussion sur un réseau social, l’un des défenseurs de l’homéopathie me balance le lien d’un papier et m’extrait de…

Inversion de l’hypothèse nulle

Par zeteditor

On a vu dans le billet « C’est quoi un petit p ? » ce qu’était l’hypothèse nulle. On a vu aussi dans l’un des exemples donnés que cette hypothèse nulle ne devait pas être choisie n’importe comment. Au risque de faire une inversion de charge de la preuve c’est à dire une « inversion…

Comparaison entre médicaments vétérinaires et homéopathie vétérinaire : partie 1

Par zeteditor

Depuis son invention en 1796, l’homéopathie a été mondialement utilisée, d’abord chez l’Homme puis chez l’Animal. Entre 1796 et 2016, la pharmacologie a fait son apparition en tant que science pour devenir l’outil principal de la thérapeutique vétérinaire. Il subsiste de nos jours un usage de l’homéopathie vétérinaire, certes plus restreint, mais significatif. Les produits homéopathiques sont parfois prescrits lorsque les thérapies conventionnelles à base de médicaments ont échoué, mais sont parfois utilisés comme alternative aux traitements ayant une base scientifique et disposant d’une AMM. Les principes régissant l’usage vétérinaire des produits homéopathiques et des médicaments sont diamétralement opposés. Cet article, en deux parties, compare et différencie ces deux types de traitements en se basant sur leurs origines, leurs constituants, leurs techniques de préparation, les mécanismes d’actions connus ou supposés, le cadre légal de leur utilisation et leur crédibilité scientifique au XXIe siècle. La partie 1 débute par une considération du pourquoi les produits thérapeutiques fonctionnent, ou tout du moins semblent fonctionner.

Est-il acceptable de prescrire un placebo ?

Par zeteditor

«L’homéopathie n’a pas fait la preuve de son efficacité au-delà de l’effet placebo ou des effets contextuels, mais au moins a-t-elle une action équivalente à ceux-ci donc elle n’est pas ‘sans effet’».Cet argument est régulièrement avancé pour justifier la prescription de celle-ci, au prétexte de moindre toxicité, de moindre coût, de choix du propriétaire et…